Julien Matha : « Elle m’a dit : il faut vivre ses rêves »

« C’est un moment important. Après la mésaventure de la première étape j’ai surtout pris conscience qu’il faut que je prenne du plaisir. La course, c’est bien mais je ne serais pas pied au plancher tout le temps. Je vais aussi prendre le temps de profiter, regarder autour de moi et kiffer le moment d’être au milieu de l’Atlantique. C’est l’aboutissement d’un rêve, pour moi mais j’ai été porté par pas mal de personnes. Ça fait super plaisir. Il y a la course mais la part de plaisir que je vais m’octroyer sera importante. Cette histoire a commencé avec une copine qui était en fin de vie. Elle m’a dit : « il faut vivre ses rêves », c’est ce qui a mis le feu aux poudres. Ce projet Mini a pris dans ma vie une place 10 000 fois plus importante que prévu mais c’est une tranche de vie incroyable. »