Martin Brochard : « Je serais toujours un Martin d’eau douce »

« Être au départ des Canaries pour traverser l’Atlantique, c’est déjà un sacré aboutissement de beaucoup d’années de travail. L’enjeu ça va être d’être dans le bon rythme tout du long. La pression est en train de monter rapidement. Il va falloir savoir doser le niveau de tension. Je serais toujours un Martin d’eau douce. Ça traduit d’où je viens et où j’ai commencé. Je viens de Tours et j’ai commencé la voile sur un lac à 300 km de la mer à faire des ronds dans l’eau. 25 ans plus tard, je me prépare à traverser l’Atlantique sur un petit bateau. C’est ce que j’ai voulu raconter. »

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